Biographies & Démarches Artisques

Qui est NADIA DROUIN …

[Biographie & Démarche Artistique de nos Designers]

NADIA DROUIN

 

Âgée de 11 ans, notre petite abitibienne Nadia Drouin, dessine sans cesse.  Parmi ces rêves d’enfant, celui de créer des vêtements hors du commun pour habiller les gens de ce monde et d’avoir sa propre affaire est déjà présent.

Adolescente, sa personnalité se forme et elle est l’une des « originale » de son école,  elle refuse de suivre la Mode et invente son propre style vestimentaire.  Déjà, chaque fois qu’il lui est possible, elle s’installe à la machine à coudre afin de créer des modèles uniques.

Tout juste âgée de 17 ans, elle quitte La Sarre, sa ville natale, pour s’installer dans la grande ville de Montréal et y étudier le Design de Mode au Cégep Marie-Victorin. Ses projets sont exposés à quelques reprises sur le Campus et elle présente deux Défilés de ses créations en sa ville natale.  Puis, à la fin de sa formation, l’un de ses ensembles tailleur est sélectionné, et donc présenté, lors du défilé de Sensation Mode 2004 à Montréal.

Suite à ces trois années d’études, Nadia réalise que sa vision de la Mode est tout autre que celle de l’industrie, car celle-ci est trop conformiste pour elle.  Hors, afin de respecter ses valeurs et intérêts personnels, elle devra trouver le poste qui lui permettra de travailler sur des projets qui sortent de l’ordinaire et exclusivement signés QUÉBEC.

C’est donc à l’hiver 2005 que Nadia s’accomplis réellement…  L’Atelier de Couture Dominique Dubé, sous-contractant pour Le Cirque du Soleil, lui offre un poste de costumière à court terme.  Puis, très appréciée pour son travail, elle est par la suite référée à un autre sous-contractant du Cirque et Designer québécois, Emmanuel Roy, qui l’engage comme Couturière/Costumière pour sa maison de Couture La Courtisane.  Aux côtés d’Emmanuel, elle œuvre dans le Costume de Scène, de Télévision et de Théâtre ainsi que dans le Vêtement sur mesure féminin et masculin.  Elle y travaille alors les matières Extensibles autant que les Tissés.  De plus, elle y parfait ses connaissances en matière de Patron pour Vêtements Extensibles et y apprend les secrets du Perlage, du Baleinage, de la Confection de Costumes d’Époques, etc.

Voici quelques projets de sur-mesure réalisés durant cette expérience de travail :

  • Production de Costumes pour « Le Cirque du Soleil ».
  • Confection de Costumes pour « La Bonne Mère », pièce de Théâtre italienne du XVIIIe siècle, présentée par la Troupe « Le Plein de Sens ».
  • Confection et Perlage de Robes, Tailleurs et Costumes de Scène, pour « Sophie Simeone », chanteuse soprano lyrique.  Des créations signées « Emmanuel Roy ».
  • Confection de costumes pour le « BBQ Burlesque Show », un spectacle de cabaret de « Thierry Mugler », Styliste européen et Créateur de Vêtements Haute Couture.

Nadia prend part à cette aventure durant un peu plus d’un an, suite à quoi l’idée de se partir à son propre compte, épaulée de sa bonne amie de collège Andréa Tousignant, apparue.  Leur projet reçu la subvention « Jeunes Volontaires » d’Emploi Québec. C’est durant cette période que Nadia suit un A.S.P. en Lancement d’Entreprise (Volet Art-Affaires) et un petit atelier Photos afin de compléter leurs besoins de nouvelles Entrepreneures.

 INCORRIGIBLES, leur ligne de Vêtements et Accessoires, voit le jour !!!

Depuis, Nadia et son associée Andréa, crée et conçois côte à côte des Vêtements, Accessoires et Bijoux originaux, aux influences «Streetwears» entièrement réalisés au Québec et destinés à tous les Incorrigibles de la société…

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photos de cette page: © Karine Ayotte, artiste engagée
 
Biographies & Démarches Artisques

Qui est ANDRÉA TOUSIGNANT …

[Biographie & Démarche Artistique de nos Designers]

ANDRÉA TOUSIGNANT


Une ligne de vêtements, bijoux et accessoires au style éclectique, c’est ce qu’Andréa Tousignant a toujours rêvé de faire depuis son enfance. Aujourd’hui, c’est devenu une réalité avec Incorrigibles la compagnie qu’elle a fondée avec sa très bonne copine Nadia Drouin. Déjà, au secondaire, elle développe son côté artistique et s’inscrit en arts plastiques enrichis. Elle participe aussi à la création de décors et vêtements pour les défilés de mode ainsi que pour les pièces de théâtre. Elle remporte plusieurs concours de dessins, et est la récipiendaire du deuxième prix Jeunesse de l’un des Symposiums de peinture estivale de sa ville natale, Cap-de-la-Madeleine.

Andréa quitte ensuite le secondaire avec l’idée de concevoir des costumes et accessoires pour le théâtre et se dirige donc vers le programme Théâtre-Production au Cégep de Saint-Hyacinthe. Mais après à peine quelques mois, elle décide rapidement de revenir à une de ses plus grande passion d’enfance et de mettre son talent au profit de la mode. Un an plus tard, elle se retrouve donc à Montréal, au Cégep Marie-Victorin pour y étudier le design de mode.

Andréa termine son Cégep avec l’intention de travailler pour des entreprises prônant avant tout le travail manuel et de véritables contacts humains. C’est pourquoi elle ouvre la porte du marché de l’emploi en travaillant deux ans en tant que couturière/brodeuse/perleuse, conseillère en vente et styliste pour vitrine à la boutique de mariage Oui je le voeux… Elle prend ensuite une pause afin de peindre et de voyager un peu : Paris, Marseille,Barcelone, Cuba, New York… lui permettent d’élargir encore plus ses horizons. À son retour, bien qu’un peu las du blanc éternel, mais forte d’une bonne expérience dans le milieu du mariage, elle décide de poursuivre dans le même domaine et de travailler, cette fois-ci, dans un environnement qui se rapproche un peu plus de sa personnalité.

C’est à la boutique pour futurs mariés et autres événements spéciaux, L’Esplumoir de Merlin, qu’elle franchit cette nouvelle étape. À cet endroit, Andréa aide aux altérations de robes et est conseillère en vente. C’est à ce moment qu’elle rencontre des artisans-vendeurs ou consignataires et découvre la possibilité d’être son propre patron (ce qu’elle a toujours désiré !). L’idée reste gravée et à peine quelques semaines plus tard, elle obtient la subvention Jeunes Volontaires aux côtés de sa future associée, Nadia. C’est à travers cette subvention qu’Andréa apprend les rouages de l’entreprenariat et qu’elle a l’occasion de suivre un petit cours de joallerie afin d’ajouter une carte de plus à son arc…